Missions dans le domaine social de l’obligation de conseil renforcée pour les experts-comptables
Avocats : l'urgence d'une spécialité en littérature.
La Commission européenne réplique aux droits de douane imposés par Donald Trump
Par une déclaration à la presse en date de ce mercredi 12 mars, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ainsi que le commissaire au Commerce et à la Sécurité économique Maroš Šefčovič ont annoncé les premières mesures douanières, en réponse aux droits de douane imposés par le 47ème président des États-Unis. […]
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Dépenses juridiques : transformez les contraintes budgétaires en opportunités grâce à la data.
Tueries du Brabant en Belgique : un dernier espoir ?
La prescription extinctive ou libératoire en droit comparé. Par Yassin Jarmouni, Avocat.
Le Mexique modifie sa Constitution pour sanctionner toute ingérence étrangère
Après que Donald Trump a décidé d’inscrire six cartels mexicains sur la liste des organisations terroristes et d’augmenter les tarifs douaniers à l’encontre du pays, la Chambre des députés mexicaine a adopté, mardi 11 mars, une réforme de la Constitution visant à protéger la souveraineté nationale et à sanctionner les ingérences étrangères. La réforme, impulsée […]
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Municipales 2026 : vers une évolution du mode de scrutin ?
Mardi 11 mars, les sénateurs ont adopté une proposition de loi visant à renforcer la parité dans les fonctions électives et exécutives du bloc communal, ainsi qu’une proposition de loi organique visant à harmoniser le scrutin de liste aux élections municipales. Déposée en octobre 2021 à l’Assemblée nationale et adoptée par la Chambre basse en […]
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[Plaidoyer] Pour une vision d'un autre territoire par la "médiation environnementale complexe préventive" des projets publics. Par Laure Singla, Environnementaliste expert.
L’Arbitration Act anglais de 2025 : une réforme à contre-courant ?
Alors que la concurrence entre les places d’arbitrages s’intensifie, l’Angleterre vient d’adopter un nouvel Arbitration Act 2025, près de trente ans après l’entrée en vigueur de l’Arbitration Act 1996. Décryptage.
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De l'affaire Dreyfus à l'IA : l'expertise judiciaire à l'ère de la révolution technologique. Par Barbara Para, Pyschologue.
Nouvelle parution : Droit de l'intelligence artificielle.
Panorama rapide de l’actualité « Affaires » de la semaine du 3 mars 2025
Sélection de l’actualité « Affaires » marquante de la semaine du 3 mars.
Brevets : tournant décisif dans l’application incidente de la règle de compétence exclusive
La juridiction de l’État membre du domicile du défendeur demeure compétente pour connaître de l’action principale en contrefaçon d’un brevet délivré ou validé dans un autre État membre, même si le défendeur conteste, par voie d’exception, la validité de ce titre. En revanche, l’article 24, § 4, du règlement (UE) n° 1215/2012 du 12 décembre 2012 dit règlement « Bruxelles I bis », ne s’applique pas et n’attribue aucune compétence exclusive à une juridiction d’un État tiers. Par conséquent, si la validité d’un brevet délivré dans un État tiers est contestée par voie d’exception devant le tribunal de l’État membre du domicile du défendeur saisi de l’action principale en contrefaçon, ce dernier peut, en principe, connaître à la fois de l’exception de nullité et de cette action en contrefaçon.
Entre société mère et filiale, la notion d’entreprise pour le calcul des amendes RGDP précisée
Le terme « entreprise », figurant à l’article 83, §§ 4 à 6, du règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil, du 27 avril 2016, relatif à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données (RGPD), correspond à la notion d’« entreprise », au sens des articles 101 et 102 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE), de sorte que, lorsqu’une amende pour violation du règlement (UE) 2016/679 est imposée à un responsable du traitement de données à caractère personnel, qui est ou fait partie d’une entreprise, le montant maximal de l’amende est déterminé sur la base d’un pourcentage du chiffre d’affaires annuel mondial total de l’exercice précédent de l’entreprise. La notion d’« entreprise » doit également être prise en compte afin d’apprécier la capacité économique réelle ou matérielle du destinataire de l’amende et ainsi vérifier si l’amende est à la fois effective, proportionnée et dissuasive.
Dérogation à la règle de la priorité absolue et domaine du test du meilleur intérêt des créanciers : enseignements du premier arrêt concernant les classes de parties affectées
Pour la Cour de cassation, d’abord, la demande de dérogation à la règle de la priorité absolue prévue au II de l’article L. 626-32 du code de commerce peut simplement résulter de la présentation du plan faite par le débiteur et/ou par l’administrateur judiciaire. Ensuite, il est jugé que dans le cadre du test du meilleur intérêt des créanciers, la juridiction chargée d’arrêter le plan ne doit comparer le traitement que celui-ci réserve à une partie affectée qui a voté contre ce plan à celui qui serait le sien en cas de cession totale de l’entreprise que si une offre de reprise a été faite ou que si un projet de cession lui a été soumis. Gare toutefois aux apparences : sous ces traits d’arrêt de principe, les solutions qu’il prodigue nous semblent fortement influencées par la configuration particulière des faits de l’espèce !
Panorama rapide de l’actualité « santé » du mois de février 2025
Sélection de l’actualité « Santé » marquante du mois de février.
De l’influence du contexte sur la portée diffamatoire d’un propos
La chambre criminelle de la Cour de cassation a rendu, le 25 février 2025, un arrêt rappelant combien la frontière entre diffamation et injure peut être fine. La Cour y réaffirme son rôle actif dans le contrôle de l’appréciation des propos litigieux par les juges du fond, tout en tirant les conséquences d’un revirement de jurisprudence récent.
Contrat d’assurance conclu avec une institution de l’Union européenne : procédure et interprétation des dispositions contractuelles
Lorsque l’arrêt du Tribunal de l’Union européenne est rendu à la suite d’un débat contradictoire entre certaines parties et par défaut à l’égard d’une autre partie défenderesse défaillante, le recours en opposition n’est ouvert qu’à celle-ci, contre les seuls points du dispositif de cet arrêt qui la concernent. Les autres points du dispositif dudit arrêt qui concernent les parties défenderesses autres que cette partie défenderesse défaillante constituent une décision « mettant fin à l’instance » (…) et ne peuvent faire l’objet d’une opposition ». Dès lors, le pourvoi devant la Cour de justice de l’Union européenne est ouvert.
L’interprétation du contrat étant, d’abord, une recherche de l’intention commune des parties et le contrat lui-même ne contenant aucun principe de couverture intégrale, rien n’impose que l’exclusion de couverture soit interprétée strictement.