Attentat de la basilique de Nice : « Le musulman a le droit de tuer celui qui le tue »
"La place du DJ au Comex", le thème du récent dîner du Club JuriOne.
Statistiques de la délinquance 2024 : une inquiétante stabilisation sur de mauvais résultats
Mails d'usurpation en cabinet d'avocats, ce qu'il faut savoir pour se protéger.
Donald Trump rebaptise le golfe du Mexique « golfe d’Amérique » : que dit le droit ?
Donald Trump a signé un décret présidentiel pour changer le nom du golfe du Mexique, lui préférant le toponyme de golfe d’Amérique - ce que Google Maps a aussitôt intégré dans ses cartes. Le fait de rebaptiser un espace maritime a-t-il un lien avec la souveraineté territoriale ? Et comment interpréter cet acte à la lumière du droit ?
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« Golfe d’Amérique » : l’agence Associated Press privée d’accès à la Maison Blanche pour ses choix éditoriaux
Si Donald Trump a, par décret du ministère de l’Intérieur américain en date du 7 février 2025, tenu sa promesse faite le 20 janvier de renommer le golfe du Mexique « golfe d’Amérique », l’agence de presse Associated Press (AP) a aussitôt fait savoir par communiqué qu’elle continuerait de faire référence au nom initial dudit golfe, « tout […]
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Focus sur la justice restaurative : Pour qui ? Comment ? Pourquoi ?
Une loi de finances pour 2025. Enfin !
Le budget 2025 a été définitivement adopté par le Parlement grâce à l’article 49 alinéa 3 et au rejet assez net d’une motion de censure. Moins ambitieux sur la trajectoire budgétaire que le projet initial de Michel Barnier, le texte est le fruit d’un compromis. Si le Conseil constitutionnel a été saisi du texte et qu’il faut s’attendre à la neutralisation de certaines dispositions, la loi de finances devrait permettre de sortir du fonctionnement minimum qu’imposait la loi de finances spéciale.
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Loi « handicap » : 20 ans de progrès réels et d’espoirs déçus
Venant rénover en profondeur la loi fondatrice du 30 juin 1975, la loi du 11 février 2005 entend concrètement établir et garantir l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées. Elle vise à assurer la compensation des conséquences de leur handicap ainsi qu’un revenu d’existence favorisant une vie autonome et digne. Et pose un principe d’accessibilité généralisée dans tous les secteurs (école, emploi, transports, culture…). Vingt après, ces objectifs sont-ils atteints ?
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Louboutin : la protection des marques de position par la Cour d'Appel de Paris. Par Raphaël Molina, Avocat.
Le rôle clé des employés dans la cybersécurité.
Panorama rapide de l’actualité « Civil » de la semaine du 3 février 2025
Sélection de l’actualité « Civil » marquante de la semaine du 3 février.
[PODCAST] Justice des mineurs : débats autour de la proposition de loi Attal
La proposition de loi déposée par Gabriel Attal, visant à réformer la justice des mineurs, soulève des questions cruciales sur le jugement des mineurs délinquants et la responsabilité parentale. Dans ce podcast, Charlotte Tenenhaus et Solène Debarre, avocates spécialisées, décryptent les enjeux de cette réforme controversée, alors même que les discussions s’ouvrent à l’Assemblée nationale.
Le « déstockage » n’exclut pas la preuve de l’épuisement du droit de marque
Le revendeur qui s’approvisionne auprès d’associations caritatives dans le cadre d’une opération de « déstockage » n’est pas dispensé de prouver le consentement du titulaire de la marque à la commercialisation de chaque produit revendu neuf ou d’occasion.
Les déclinaisons de l’arrêt [i]Commune de Saint-Bon-Tarentaise[/i]
Le Conseil d’État étend le motif d’inopérance dégagé dans une précédente décision Commune de Saint-Bon-Tarentaise à la situation contentieuse où, dans le cadre d’un recours par voie d’action contre la délibération approuvant un plan local d’urbanisme, est invoquée une irrégularité entachant la délibération arrêtant le projet de plan.
Motivation et durée des mesures d’interception et de géolocalisation des lignes téléphoniques
Par un arrêt du 21 janvier 2025, la Cour de cassation précise que le point de départ des mesures d’interception et de géolocalisation doit être déterminé à partir du contenu de la décision la prescrivant ou l’autorisant. Ce n’est qu’à défaut d’indication que l’on retient la date de mise en œuvre effective de la mesure comme point de départ.
L’incomplétude de la formule exécutoire constitue une irrégularité pour vice de forme
Un créancier ne peut mettre en œuvre des mesures d’exécution forcée qu’en présence d’un titre doté de la force exécutoire. Celle-ci dépend de plusieurs conditions, dont la présence obligatoire, sauf disposition contraire, de la formule exécutoire. L’absence ou l’incomplétude de la formule exécutoire constitue une irrégularité pour vice de forme, dont la nullité suppose nécessairement la preuve d’un grief.
Sanction de l’ACPR dans le secteur de la prévoyance complémentaire d’entreprise
Par sa décision de sanction prononcée à l’encontre de la Caisse de retraite complémentaire des clercs et employés des huissiers de justice (CARCO), l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) confirme la très grande vigilance dont elle fait preuve à l’égard des opérateurs d’assurance en ce qui concerne le respect tant des règles concernant la relation client que de celles applicables aux relations entretenues avec l’Autorité. S’agissant du montant de la sanction pécuniaire, l’ACPR se fait plus clémente. On regrettera qu’elle n’expose pas des modalités plus strictes de détermination du montant de la sanction.
Création d’une procédure disciplinaire simplifiée ou le renforcement de l’autorégulation de la profession d’avocat
Depuis des années, la profession d’avocat demandait la création d’une procédure disciplinaire simplifiée permettant de répondre aux « petits » manquements déontologiques. Le décret n° 2025-77 du 29 janvier 2025, reprenant les propositions portées par le Conseil national des barreaux (CNB), correspond à cette attente. Ainsi le bâtonnier, sauf s’il est saisi par la plainte d’un tiers ou si l’avocat a préalablement fait l’objet d’une interdiction temporaire d’exercer, pourra proposer la sanction de l’avertissement ou du blâme ainsi que des sanctions complémentaires à l’avocat poursuivi. Si celui-ci les accepte, elles pourront être homologuées par la juridiction disciplinaire, laquelle pourra également être saisie en cas de refus et prononcer, après débats, les mêmes peines.